RUSSIAN ROULETTE
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot 6 Boosters Mascarade ...
Voir le deal
Le deal à ne pas rater :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot 6 Boosters Mascarade ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 •• This is the new shit — Zorän V.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Arman A. Gabrielyan

Arman A. Gabrielyan

▬ COPYRIGHT : ©
▬ JOB : Bras-droit du chef.
▬ CURRENT MUSIC : HOLLYWOOD UNDEAD ▬ Botte And a Gun


will you ever see another sunrise ?
▬ AGE DU PERSONNAGE : 27 ans.
▬ QUARTIER D'HABITATION :
▬ IF YOU PLAY, YOU PLAY FOR KEEPS :

•• This is the new shit — Zorän V. Vide
MessageSujet: •• This is the new shit — Zorän V.   •• This is the new shit — Zorän V. Icon_minitimeDim 16 Mai - 16:24

    Dommage que le temps n'ait pas été à l'orage ce jour-là. À la place, il y avait ce satané soleil qui avait eu la décence de se lever depuis deux heures à peu près. Et ce tissu qui laissait quelques rayons entrer dans la chambre...Joie. C'était frustrant. Il y avait aussi ce son atroce que faisait le réveil posé sur la minuscule table qui faisait office de chevet. C'était agaçant. Et cet abruti qui faisait certains bruits en dormant. De simples sons infimes qui entachaient son humeur déjà mauvaise de nature. Et ces sons l'avaient empêché de céder au sommeil. Merveilleux. Arman détourna son regard du cadre minime qui lui servait de fenêtre pour grimacer à la vue de l'abruti qui osait le déranger. Certes, ça ne faisait qu'une demie heure qu'ils avaient arrêté leurs activités, Arman avait eu la tendre attention de le laisser dormir quelques temps. Et cet imbécile en profitait pour parler dans son sommeil par monosyllabes presque incompréhensibles. Ses sourcils se froncèrent lorsque l'imbécile posa son bras sur le sien. La grimace ornait toujours son visage qui était d'habitude plus angoissant qu'autre chose. L'arménien n'hésita pas une seconde à dégager le bars de l'étranger. Il n'hésita pas non plus à le pousser en dehors du lit pour le réveiller. Il l'avait autorisé à se reposer mais pas à parler dans son putain de rêve. L'abruti aurait dû s'en douter, Arman l'avait prévenu dès leur première rencontre qu'il ne voulait personne dans son lit après leur partie de jambes en l'air.

      « Пошёл вон от сюда. »


    Intéressant, il n'avait eu besoin que de donner cet ordre sèchement pour que l'étranger quitte la pièce. Oh il avait eu besoin de balbutier quelques mots compréhensibles que par lui. Arman ne lui avait accordé qu'un regard dur et froid, montrant son agacement en plus de sa grimace. Heureusement que l'étranger ne paraissait pas si bête que cela, il n'avait pas mis beaucoup de temps à comprendre l'ordre. Il s'était même rhabillé en vitesse pour quitter la pièce, ou plutôt, l'appartement entier. Béni soit le son du claquement de porte. Dès qu'Arman entendit la porte d'entrée claquer, il fut soulagé au plus haut point. Il détestait tous ces imbéciles qui voulaient rester longtemps chez lui. Il n'avait pas que ça à faire.
    Dès que l'étranger quitta les lieux, l'arménien se leva de son lit, habillé que d'un simple boxer blanc, et s'engouffra dans la salle de bain. Sa chambre sentait le sexe à plein nez, il trouvait ça trop écœurant pour y rester plus longtemps. L'eau de sa douche était tiède, il n'aimait pas quand c'était trop chaud ou trop froid. L'envie d'être réveillé par une bonne douche, l'eau tiède était la meilleure solution pour lui. Ça avait le don d'apaiser tous ses maux, faisant fi ses pensées caustiques et laissant cette merveilleuse accalmie en lui. Même si un verre de vodka a plus de vertus d'après lui qu'une douche. Comme une bonne tasse de чай из шиповника que les grands-mères adorent faire boire aux enfants. Surtout dans les vieilles familles russes traditionnelles.

    Apaisé, mais toujours avec son humeur exécrable, Arman sortit de la salle d'eau fin prêt mais cette fois-ci, il ne portait absolument rien sur lui. À quoi bon, il était chez lui et personne n'oserait venir lui rendre visite à sept heures trente-sept. Et puis, il préférait se balader nu chez lui, c'était d'autant plus agréable que quelques vêtements trop encombrants.
    À l'aide d'une serviette, ses cheveux n'étaient plus aussi mouillés, mais presque secs comme son corps entier. Il entra dans son salon d'un pas assez rapide, voulant absolument boire quelque chose de frais capable d'arranger son humeur exécrable. En passant devant sa vieille télévision, il l'alluma mais regretta vite son acte vu ce qu'il y avait sur la chaîne Орт : une émission sur Russian Roulette bien sûr. Il commençait à en avoir marre de ces émissions mièvres sur ce criminel, à croire que la presse adorait chanter les louanges dantesques de Russian Roulette. Trouvant l'émission trop aberrante, Arman mit la chaîne Music Box Ru où une jeune demoiselle d'une laideur affolante chantait : МакSим avec sa chanson Не отдам. Trop niais. Il coupa le son sans hésiter, au moins, cette chaîne de musique ne relatait pas les nouveaux cadavres retrouvés.
    Son appartement était banal, ne contenait aucune richesse quelle qu'elle soit. C'était fichtrement pauvre mais il n'en avait absolument rien à faire, il dépensait son argent en alcool ou drogue. Et parfois même en arme.

    Il sortit une bouteille de Столичная, et un verre pour se servir de la vodka en pleine matinée. C'était aussi un bon moyen pour se réveiller. Même s'il n'avait pas dormi de la nuit, il voulait être en forme quand même pour une éventuelle activité le soir. Sa cuisine était drôlement bien rangée contrairement au reste de l'appartement. En vérité, il ne mangeait jamais chez lui, enifin il était presque jamais chez lui pour y manger. Mais il lui arrivait de rester quelques heures voire une journée entière, quand le travail n'avait pas besoin de lui. Et cette matinée-là, il pouvait se reposer chez lui, totalement nu avec son verre à la main droite et sa cigarette dans l'autre. C'était une image pure du mafieux alcoolique qui n'avait rien à faire du reste. Sauf qu'Arman ne portait rien, mais ça, ce n'était pas très important. Seuls les russes peuvent boire de l'alcool dès le matin. Après tout, il n'est pas un arménien pour rien, arménien qui a toujours vécu en Russie qui plus est.
    Le liquide lui brûla la gorge mais il ne voulut pas du tout s'en soucier, c'était toujours agréable comme sensation pour Arman. La cigarette se consuma assez rapidement, il n'avait tiré que trois bouffées depuis qu'il l'avait allumée. Autant dire que seul son verre de vodka l'intéressait et...ce bruit horrible qui commençait à l'agacer depuis quelques secondes voire minutes. À la suite du départ de l'autre abruti, il avait été à l'abri de tout son horripilant, mais non, là quelqu'un s'amusait à appuyer sur la sonnette.

      « Блин, c'est bon j'arrive. »


    Au moins, il avait eu la décence de laisser son verre sur le comptoir et d'éteindre sa cigarette. Mais il était toujours nu comme un ver...


Spoiler:


Dernière édition par Arman A. Gabrielyan le Mer 19 Mai - 17:39, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Zorän E. Valienov

Zorän E. Valienov

▬ COPYRIGHT : © BEATNIK BEAST
▬ JOB : Officiellement, photographe. Officieusement...
▬ CURRENT MOOD : Revenge desire.
▬ CURRENT MUSIC : Whispers in the dark •• Skillet


will you ever see another sunrise ?
▬ AGE DU PERSONNAGE : vingt-trois ans
▬ QUARTIER D'HABITATION : Kupchino
▬ IF YOU PLAY, YOU PLAY FOR KEEPS :

•• This is the new shit — Zorän V. Vide
MessageSujet: Re: •• This is the new shit — Zorän V.   •• This is the new shit — Zorän V. Icon_minitimeMar 18 Mai - 20:18


    Les ténèbres, intenses et impénétrables, se refermèrent peu à peu. Seule une voix semblait percer le voile opaque qui s’était emparé du lieu, le coupant du reste du monde. Que disait-elle ? Des mots indistincts lui parvenaient comme un écho faible, lointain. Silencieux, Zorän se concentra sur ses inflexions, sa tonalité si… familière. Cependant, les mots lui échappaient, s’éloignant davantage à chaque seconde. Allaient-ils réellement disparaître, emportant tous leurs secrets avec eux ? « Non ! » Sa propre voix s’évanouit dans le silence comme si, craignant d’être avalée, elle avait préféré faire marche arrière, se glissant à nouveau entre ses lèvres. Désemparé, il caressa sa bouche du bout de ses doigts. Se pouvait-il que… ? Ne laissant pas la peur l’envahir, il s’élança à travers l’obscurité, droit devant lui, guidé par les bribes de paroles qui lui parvenaient encore. Avançant sans voir où il mettait les pieds, il prit de la vitesse suivant le rythme précipité de son cœur, comme si il vouait une confiance aveugle à son guide invisible. Et, peu à peu, les mots se rapprochèrent, se détachant du silence, ils se dessinèrent dans son esprit… "Pardonne-moi…"
    Comme une blessure qui s’ouvre lentement, une douleur brûlante l’incita à ralentir. Cette voix… c’était impossible, tout simplement impossible. Et pourtant, il l’entendait encore et toujours, répétant inlassablement les mêmes mots. Des mots si douloureux, chuchotés de cette façon qui lui avait toujours appartenue, comme une marque, une empreinte. Ne pouvant y croire, Zorän reprit sa course effrénée à travers les ténèbres. Il voulait le voir de ses propres yeux, chasser cette illusion, comprendre le fin mot de cette histoire. Alors, une lumière perça peu à peu la noirceur qui l’avait entouré jusque là, troublant sa visibilité. Encouragé, il courut vers elle, sans réfléchir avant de comprendre son erreur… S’immobilisant, il tenta de contrôler la douleur qui lui déchirait les entrailles, comme une plaie béante laissant le sang couler à flot et pourtant, pas une seule goutte ne venait maculer le sol. Cependant, il ne s’en souciait pas, toute son attention était concentrée sur lui… Son corps se découpant dans la lumière, il lui faisait face, prononçant sans fin les mêmes mots comme un repentir. Virgo venait toujours le hanter, formulant des excuses qu’il n’avait jamais pu lui adresser.

    « Monsieur. Monsieur ! Réveillez-vous, nous sommes arrivés. » Brusquement arraché à son rêve, Zorän ouvrit les yeux, observant la silhouette du contrôleur qui se dessinait devant lui. Le train s’était immobilisé et les sons familiers de la gare de St Petersbourg lui parvinrent peu à peu. A travers la vitre du wagon, les premiers rayons du soleil venaient agresser ses pupilles. C’était désagréable et pourtant, un sourire se dessina sur les lèvres du jeune homme. Il était réveillé, libéré de son cauchemar et de la douleur dont il s’était imprégné. Bien sûr, derrière les brumes latentes du sommeil, il demeurait un goût amer qui lui donnait la nausée. Il n’avait aucune envie de ressasser tous ces mauvais souvenirs. La mort de Virgo faisait partie de ces fragments du passé qui resterait à jamais planté dans son âme, comme une cicatrice jamais refermée mais il pouvait vivre avec. Il l’avait fait jusque là après tout. Se redressant, il récupéra les photos qu’il avait éparpillées sur la banquette. Son regard passa rapidement en revue chacune d’elle alors qu’il les rangeait soigneusement dans son sac. C’était le travail qu’il avait effectuer la veille, pour un magazine et il était plutôt satisfait du résultat même si il se bornait à croire que les conditions ne pouvaient être optimale à un tel moment de l’année, mais le service éditorial n’avait pas voulu écouter ses explications alors ils devraient se contenter du travail qu’il avait à leur présenter. D’ailleurs, il ne se faisait pas vraiment de soucis à ce sujet, il avait feuilleté quelques uns des numéros précédents, se concentrant sur les photographies et honnêtement, c’était vraiment du travail d’amateur, il n’aurait aucun mal à faire bonne figure face à un tel manque de professionnalisme. Mais d’ici là, il avait autre chose à faire, le magazine pouvait attendre.

    Accompagné par l’unique son de ses pas sur le macadam, il s’éloigna de la gare. A une heure si matinale, il ne croisa que très peu d’être vivant dans les rues qu’il empruntait, juste par habitude. Il avait tout d’abord hésité à appeler à un taxi mais finalement, après ces longues heures de train, il avait besoin de se dégourdir les jambes, de prendre l’air, de se fondre dans les rues qui l’avaient vu grandir. Malgré tout, il était chez lui à St Petersbourg et si il y avait bien une chose que ses voyages lui avait enseigné, c’était que ses racines se trouvaient au cœur même de cette ville, qui avait abrités ses éclats de rire, ses douleurs, ses erreurs, au point de s’emparer d’une partie de son âme. A présent, il ne pouvait se sentir pleinement entier que lorsqu’il se déplaçait entre ses murs. Troublé par une telle pensée, il se mit à courir. Comme dans son rêve, il accéléra suivant les battements de son cœur qui s’emballaient de plus belle sous l’effort… Un cercle vicieux dans lequel il se plaisait à s’enfermer. Tant qu’il courrait, son esprit faisait le vide dans ses pensées, se concentrant sur les mouvements de son corps. Si il le souhaitait, il pouvait courir ainsi tout le long du trajet. Ce dernier ne le menait pas jusqu’à chez lui, il devait d’abord se rendre chez Arman. En effet, il avait accepté juste avant de partir, d'apporter un dossier au maffieux. Aleks lui faisait confiance et préférait lui confier ces papiers importants, même si la livraison devait attendre deux jours plutôt que de devoir déléguer ce travail à quelqu’un qui n’avait encore jamais fait ses preuves. Par ailleurs, Zorän était toujours partant pour rendre service au jeune homme, d’autant plus qu’il était conscient des responsabilités qui pesaient à présent sur les épaules de son meilleur ami. Après tout, c’était son rôle de l’alléger au maximum de ce poids, de le soutenir à tout moment.

    A bien y réfléchir, c’était la première fois qu’il allait chez Arman, bien qu’il connaissait son adresse depuis que ce dernier avait intégré la mafia. A ce propos, il se souvenait de l’arrivée de l’homme dans les rangs de la mafia. A cette époque, il ne l’avait pas tout de suite reconnu puis les souvenirs étaient remontés à la surface et il avait compris pourquoi ce dernier lui adressait un regard familier, comme si ils se connaissaient déjà. En effet, il gardait de nombreux souvenirs de cette période où, bien des années auparavant, il se rendait dans le bar où travaillait Arman. Il s’y était souvent aventuré avec Virgo, voire même seul afin de pouvoir mettre de l’ordre dans ses pensées. Dire qu’à ce moment là, son seul problème était de savoir comment il allait pouvoir annoncé à Hannah qu’il la quittait pour Virgo. Il ne voulait pas briser l’amitié qui unissait ses deux amants et à présent cela lui semblait bien dérisoire… Quoi qu’il en soit, Arman et lui avaient échangé quelques discussions à cette époque là, sept ans auparavant et le jeune homme lui avait alors fait des avances qu’il avait poliment rejeté, ayant déjà pas mal de choses en tête avec le triangle amoureux dans lequel il s’était lui-même enfermé. Arman se souvenait-il de ce qui s’était passé cette année là ou avait-il oublié depuis longtemps ? Zorän n’aurait su le dire bien que cette idée aurait pu expliquer le comportement de ce dernier à son égard. En effet, il aurait presque juré qu’Arman avait recommencé à lui faire des avances. Voulait-il finir ce qu’il avait commencé autrefois ? Peut-être.

    S’immobilisant devant le bâtiment où habitait le bras droit d’Aleks, il reprit un instant son souffle avant de grimper les étages. Il était enfin arrivé, la porte de son appartement lui faisait face et pourtant, Zorän hésita quelques secondes avant de sonner. Après tout, il était peut-être un peu trop tôt pour s’incruster de cette façon. Non, peu importe, en intégrant la mafia chacun d’entre eux avait accepté d’être disponible afin de la servir au mieux. Bien sûr, l’affaire dont il voulait lui parler n’était pas d’une urgence extrême mais il préférait ne pas la laisser traîner et puisqu’il était là à présent, il était hors de question qu’il fasse demi-tour. Son doigt s’écrasa sur le bouton de la sonnette, avec un manque de délicatesse évident bien qu’il ne sembla pas réellement s’en apercevoir. Répétant son geste à plusieurs reprises, des mots lui parvinrent finalement à travers la porte. « Блин, c'est bon j'arrive. » Un sourire se dessina sur ses lèvres alors qu’il libérait le bouton, attendant sagement qu’Arman vienne lui ouvrir. Ce dernier s’exécuta plutôt rapidement et sans attendre qu’il ne prononce le moindre mot, Zorän entra dans l’appartement, pénétrant directement dans le vif du sujet. « Bonjour, je sais qu'il est un peu tôt mais je viens de rentrer à St Petersbourg donc je me suis permis de faire un crochet par chez toi. J’ai un dossier à te… » Absorbé par son discours, il venait à peine de poser son regard sur Arman, réalisant alors que ce dernier se présentait devant lui, complètement nu. Sidéré, il écarquilla les yeux, ne pouvant s’empêcher d’observer le corps de l’homme qui lui faisait face. Ce dernier ne semblait éprouver aucune gène à l’idée d’exposer ainsi sa nudité à un collègue avec qui il ne partageait pourtant pas la moindre intimité. « Mais qu’est ce que tu fous dans cette tenue ? Ou plutôt, devrais-je dire cette absence de tenue ! Avec le temps que t’as mis avant de réagir, je pensais que t’avais largement eu le temps de t’habiller. » Se retournant afin de préserver l’intimité d’Arman qui n’avait, après tout, peut-être pas encore les idées claires à une heure si matinale, il sortit le dossier en question de son sac. Le posant sur la table, il évita soigneusement de regarder dans la direction de l’homme même si il devait avouer que la tentation était grande. De ce qu’il avait pu voir durant les quelques secondes où il avait eu le loisir de contempler les formes de ce dernier, la nature l’avait vraiment gâté, lui offrant un corps des plus attirants. Cependant, il s’agissait d’un lien uniquement professionnel et si il voulait rester crédible, il devait garder la tête froide. « Je te laisse le temps d’aller t’habiller avant d’en discuter, je ne suis pas vraiment pressé, après le trajet que je viens de faire, en fait, ça m’arrange de me poser un peu. » Sur ces mots, il se laissa tomber sur une chaise et fermant les yeux, il rejeta la tête en arrière. La course effrénée qu’il avait effectuée à travers les rues, commençait à le rattraper, et son corps réclamait une pause, un moment de relaxation bien mérité. Lentement, il étendit ses jambes, alors que sa respiration suivait un rythme léger et apaisant. Libérant ses pensées, il se laissa envahir par ce moment de calme et, oubliant presque où il se trouvait, il soupira de bien être. Un sourire se dessina sur ses lèvres alors qu’il réalisait qu’il prenait vraiment ses aises n’importe où, même dans un endroit où il n’était jamais allé auparavant.


    HJ - Désolée, je me suis un peu laissé emporter par mon blabla éè J'espère que ça sera pas trop chiant à lire et que t'auras assez de matière pour répondre. Sinon je peux en rajouter, n'hésite pas à me le dire =3
Revenir en haut Aller en bas
 

•• This is the new shit — Zorän V.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
RUSSIAN ROULETTE :: « SAINT-PÉTERSBOURG » :: ▬ la partie est :: Quartier Rzhevka-